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Funray Multiplex : un planeur rc de voltige

Funray de Multiplex

Le Funray Multiplex un riche héritier

Multiplex optimise au fil des années l’utilisation de l’Elapor® en mixant le meilleur des mondes avec l’emploi du carbone pour rigidifier le fuselage ainsi que les ailes de ses avions de hautes performances. Le Blizzard, hotliner aux performances exceptionnelles pour un modèle en mousse, avait permis à l’époque d’ouvrir la voie en s’attaquant à une catégorie l’un d’être évidente. Le Funray en est le digne héritier technique mais cette fois ci sur un autre créneau : l’acrobatie en planeur rc.

Funray de Multiplex
Vue en plan du Funray de Multiplex

Le Funray est-il un Stingray mousse ?

Funray … funray … ça sonne un peu comme Stingray non ? En effet, il y a des airs de ressemblance et ça semble un clin d’oeil aux études de ce planeur échelle 1:1 faites par des jeunes ingénieurs Polonais. Je dis études car il n’a jamais été construit. Le Stingray est un bien aimé de la communauté des planeuristes RC car en plus de faire une belle maquette c’est une alternative au Fox ou au Swift. Il aime voler en puissance pour de la voltige ample. Il est très réputé pour ses capacités de restitution.

CLIP OFFICIEL DU FUNRAY

Sur le Funray de Multiplex on retrouve bien la forme en plan de l’aile optimisée du Stingray, proche d’une répartition de portance elliptique. Le dessin des winglets est faiblement prononcés pour obtenir un bon compromis entre gain de traînée et maniabilité pour la voltige. L’aspect ratio du modèle dans sa vue en croix ainsi que la géométrie de la queue rappel également le Singray. Le plan porteur arrière semble un peu plus généreux avec un petit peu plus de surface en proportion que l’échelle 1:1 et ses confrères RC en composites connu ( production du fabricant italien « Xmodels » ou de l’allemand « Wing and More »). On voit donc que si il y a quelques air de ressemblance, Multiplex est re-parti d’une page blanche en se reposant les bonnes questions.

Un fuselage dessiné pour la voltige

Le Funray a du plat dans le fuselage, lui donnant clairement des qualités propices lors des passages vol tranche ( ce n’est pas un multi 3D tout de même ! ). On le voit très bien sur la photo ci-dessous. Le chanfrein haut et bas du fuselage rappel les lignes de l’Acromaster. On sent la recherche du compromis entre des arrondis subtils pour garder le plus longtemps possible les filets d’airs accrochés sur l’avant, une surface latérale généreuse et des chanfreins plus saillants sur le tronçon arrière du fuselage pour bien séparer intrado-extrado ainsi créés.

 

Le Funray de Multiplex. Crédit Multiplex.
Le Funray de Multiplex. La forme du fuselage si particulière est bien visible sur cette photo.

Il n’y a pas de train d’atterrissage. Ceux qui veulent en rajouter un devront garder à l’esprit que le raidisseur carbone fait toute la longueur du fuselage. La place dans la mousse pour une roulette semi-encastrée va manquer. Pour ma part, je trouve cette absence de train cohérente avec le programme du planeur. Cela fait du poids en plus et de la trainée aéro inutile pour un avion destiné à voler plutôt à des vitesses élevées.

Détail de l'électronique du fuselage. Funray de Multiplex
Détail de l’électronique du fuselage du Funray de Multiplex.

La verrière en mousse grise pourra être changée en option par une verrière transparente pour donner une touche maquette.

Des détails intéressants

Empennage arrière : un système de clipsage de l’empennage arrière et de la dérive facilite grandement le transport.

Système d'assemblage de l'empennage arrière du Funray de Multiplex.
Système d’assemblage de l’empennage arrière du Funray de Multiplex.

Clef d’aile et connectiques : la clef d’aile est un jonc carbone enfermé dans un tube alu (ou inox ?) rectangulaire. On retrouve l’héritage éprouvé sur le Heron. Les ailerons et flaps se connecte automatique avec les prises fameuses prises rapides vertes ( qui ne les a pas ces prises vertes ! ).

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Funray Multiplex, détail de la clef d’aile.

Bord d’attaques : les bord d’attaques sont rigidifiés par un carénage plastique.

 

FICHE CONSTRUCTEUR

PLANEUR ÉLECTRIQUE FUNRAY RR 2m MULTIPLEX

Que du bonheur! • Le FUNRAY MULTIPLEX marque une nouvelle ère dans le domaine des modèles en ELAPOR®. Cet élégant planeur électrique, dynamique, avec ses quatre volets d’ailes saura vous convaincre non seulement par ses caractéristiques de voltige à la pente, mais également par ses performances en plaine, lorsqu’il s’agit de spiraler dans les ascendances. Après une descente vertigineuse avec les ailerons et volets en position Butterfly, l’atterrissage de précision n’est plus qu’un jeu d’enfants. Le FUNRAY se distingue notamment par une précision et une vitesse d’exécution incroyable des figures de voltige. Pour des planeurs en ELAPOR® il s’agit là d’une véritable première ! Ces performances n’ont pu être obtenues que par une conception hybride moderne alliant la fibre de carbone, l’acier inoxydable, l’aluminium, la matière plastique et cette mousse spécifique qu’est l’ ELAPOR®

Caractéristiques

  • Performances incroyables pour un modèle en mousse
  • Voilure et empennage extrêmement résistants grâce aux bords d’attaque en plastique et à des longerons aluminium/carbone
  • Branchements de sécurité des fiches servos avec prises haute intensité M6 dans les ailes (# 1-00112)
  • Ailes et stabilisateur démontables
  • Gouverne de direction avec charnières encastrées démontable
  • Fuselage rigide grâce à la technologie M-Space et un renfort carbone en tube carré sur toute la longueur du fuselage, du couple moteur au support de l’empennage
  • Motorisation Brushless (# 1-00103) très performante d’une puissance de 500 Watt, livrable en option
  • Hélice à pales repliables, renforcées à la fibre de carbone (# 1-00091), livrable en option
  • Décoration de qualité résistante aux UV, designed by Mirco Pecorari
  • Film/protection du patin d’atterrissage résistant aux UV
  • Trim à l’arrière
  • Large plage d’utilisation, précision extrême des commandes de vol grâce aux 6 servos Hitec Premium HS-65HB avec pignonnerie Carbonite
  • Verrière transparente avec Cockpit (# 1-00138), livrable en option
  • Gouvernes de commande renforcées avec des tubes en acier inoxydable
  • Notice : manuel pdf du Funray 
  • Pièces détachées : listing pièces détachées du Funray 

Caractéristiques techniques

  • Envergure : 2m
  • longueur : 1,23m
  • masse en vol : 1790 grammes suivant équipement
  • Surface alaire: 40 dm²
  • Charge alaire: 45 g/dm²
  • Fonctions RC : profondeur, dérive, ailerons, flaps, moteur
  • Motorisation recommandée : motorisation Dunray #1-00103
  • Batterie recommandée : LiPO 3S 3000mAh à 3300mAh
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Le cockpit optionnel. Funray Multiplex.

Caractéristiques des servos Hitech HS-65HB

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Considéré des servos les plus puissants dans la classe micro, le HS-65HB est monté avec des pignons Karbonite renforcés. Les séries HS-65 dispose d’un roulement à bille de qualité assurant une longue vie et un centrage parfait. Avec 2.2kg/cm de couple sous 6 volts pour 11g, le HS-65HB est un excellent choix pour les micro hélicoptères type Trex450/Mini Titan E325. Ces servos équipes l’ensemble du Funray.

Données techniques :
Moteur : 3 poles
Roulements : à billes
Vitesse: 0,14sec/60° (4,8V) – 0,11sec/60° (6.0V)
Couple: 1,8kg.cm (4,8V) – 2,2kg.cm (6.0V)
Dimensions: 23.6×11.6x24mm
Poids: 11,2g
Pignons: karbonite renforcé

Alternative : le HS-65HB ( pignons Karbonite renforcés ) existe en version pignons métal : HS-65MG pour 11,9 grammes ( + 0,7gr/servo).

Comparatif de charge alaire, vitesse et restitution

Le programme étant la voltige en planeur, l’idée est de savoir où se situe le Funray et comment peut-on le faire évoluer. Bien sûr dans ces lignes je ne tiens pas compte de la limite structurelle si jamais vous étiez amener à charger ce planeur pour le faire évoluer dans le vent fort c’est à vos risques et périls. La notice d’ailleurs précise bien que ce n’est pas un avion en composite et recommande un certain ménagement : ce n’est pas indestructible. Le propos ici est théorique pour comparer le Funray à d’autres planeurs et mesurer le gap qu’il y a avec un modèle tout composites ( ou pas dans le cas du Troll ).

 

Configuration ballast Charge alaire
Funray ( env 1800gr ) 45 g/dm²
Funray + 100 gr 47,5 g/dm²
Funray + 200 gr 50 g/dm²
Funray + 300 gr 52,5 g/dm²
Funray + 400 gr 55 g/dm²
Funray + 500 gr 57,5 g/dm²
Blizzard 50 g/dm²
Troll 2,0m 36,5 g/dm²
Quartz 2,5m 50 g/dm²
Sylphe 3m 60 g/dm²
Stingray X-model 2.9m 80 g/dm² à 100 g/dm²

Tableur estimatif de projet de ballast et charge alaire correspondante. Sources charges alaire : Multiplex, Zhype, François Cahour & Xmodels. 

Dans ce tableau ci dessus j’ai mis en ligne de mire 5 autres planeurs qui permettent d’entourer et ce faire une bonne idée je pense du Funray. J’ai également mis les envergures des modèles.

On a donc d’un coté des planeurs avec une faible charge alaire, permettant de gratter la moindre ascendance ( Troll ) et de l’autre des modèles chargés pour leur taille nécessitant moteur ou fortes ascendance mais ayant une bonne capacité en vitesse et en restitution.

La restitution permettra de belles figures amples ( ce qui plait aux possesseurs de Stingray ) tandis que les autres planeurs seront gratteur. Cette seconde famille, si la structure le permet, pourront être un peu alourdi. Néanmoins on ne peut pas alourdir indéfiniment un planeur pour gagner en vitesse et inertie. La structure doit pouvoir le permettre et qui dit alourdir dit nécessité de voler plus vite pour générer la portance nécessaire. Hors à un moment on n’accélère plus indéfiniment : les efforts aérodynamiques sont de plus en plus important et que l’on ne gagne guère plus rien en vitesse. Le profil est obligé alors de travailler à plus forte incidence pour porter l’embonpoint et les performances se dégradent. On voit alors que les profils utilisés et leur épaisseurs relatives ont un domaine de vol qui leur est propre. La seule issue pour gratter en vitesse, et décaler sa plage d’utilisation, sera de s’orienter vers des profils de plus faible épaisseur relative. Si l’on rentrait dans une étude pour la conception d’un planeur et sa sensibilité à la restitution, le tableau ci-dessus gagnerait à avoir comme informations supplémentaires : surface alaire, masse abolue, épaisseur relative du profil. Pour avoir quelques chiffres en tête par exemple le Blizzard à 8,9% d’épaisseur relative, le Funglider  10,3% , le Heron 12,5%. Dans l’aviation grandeur on considère que les profils sont mince en dessous de 6% et destinées aux avions de chasse, on prend entre 6% et 12% pour les avions de ligne ( profil semi épais ) et plus de 12% pour les avions de transport à basse vitesse.

Et alors ?

Et alors … et alors … c’est bien beau ce tableau mais ça nous fait un beau train d’atterrissage me direz-vous ! Et bien on voit que le Funray ( 45 g/dm²) est un peu plus chargé (+23%) qu’un modèle référent d’envergure égale qu’est le Troll ( 36,5 g/dm² ). Pour info, le Heron absent du tableau car non typé voltige est à 37,5 g/dm² dans sa version motorisé pour 2m40 d’envergure et surtout pour une surface très proche : 41 dm² là où le Funray est a 40dm². On a donc quelque chose de plus puissant ( +20% de charge alaire sur des surfaces comparables ).
Mais l’on n’est pas non plus dans le coté extrême du hotliner ( 50 g/dm² pour le Blizzard et ses 1m38 d’envergure ). Multiplex a donc placé de manière assez intelligente ce planeur accrobatique pour en faire un modèle le plus polyvalent possible tout en lui donnant un peu plus de puissance que des planeurs acrobatiques gratteurs. C’est un Stingray adouci en version 2m, gagnant en polyvalence que l’on peut amener partout.

Vidéo avec une petite pointe à 190 km/h

Vidéo crédit youtube : Modellpilot.EU

Le Stingray échelle 1:1

Même si le Funray n’est pas la réplique exact du Stingray, il se veut aller chatouiller ces répliquent en composites ou du moins servir de marche pied pour plus tard se sentir à l’aise pour ce genre de machines. Ce planeur ( le Stingray échelle 1:1 donc … vous suivez ! ) fût l’objet d’une étude réalisée par de jeunes ingénieurs polonais pour succéder aux planeurs de voltige beaucoup plus connus tel que le Swift ou le Fox. À ce jour ils n’ont toujours pas trouvé les fonds pour construire le prototype. La production n’a jamais démarré malheureusement.

Spécifications du Stingray 1:1

Envergure 12.8 m
Surface d’aile 12.62 m²
Aspect ratio 13.3
Profil d’aile NACA 6 Series
Longueur 7.7 m
Poids à vide 298 Kg
Poids en charge 408 Kg
Charge utile 110 Kg
Charge alaire 33.3 Kg/m²
Finesse  max 32 at 120 Km/h

 

 

L’état d’esprit lors de la conception du Stingray échelle 1:1 :

« Nous l’avons conçu pour être dans l’état de l’art en accord avec les dernières technologies de matériaux composites. Le cadre structurel fixé est une sollicitation des matériaux avec des facteurs de charge de +/- 10G.
L’aile a une forme de plan presque elliptique, assurant une grande surface pour une envergure donnée tout en ayant une bonne distribution de la portance.
Les winglets des ailes ont été dessinés pour bien sûr réduire les vortex de bout d’aile mais en conservant la manœuvrabilité nécessaire au programme de voltige.
Le bras de moment de la queue plus long que d’habitude garantit une douceur dans les manoeuvres sans perte d’efficacité.
Le but recherché : concevoir un avion facile à voler, sans impacter sur son habilité et sa capacité à l’acrobatie. »

Stingray_planeur
Plans du Stingray échelle 1:1

« La poutre de l’aile est une double boite faisant office de caisson de torsion construit en carbone et fibre de verre.
Les aérofreins sont placés à l’arrière de l’élément de charge.
Les ailerons sont équilibrés en masse.
La dérive est équilibré tant aérodynamique que en terme de masse.
Le train d’atterrissage principal est rétractable manuellement et possède un frein.
Une roulette de queue est conçue incorporée.
La verrière est équilibrée à l’avant par un vérin. »

Les Stingray X-model, les Stingray Wing Machine et le Funray

Ces machines font réver pas mal de planeuristes en particulier pour leur capacité à la restitution ! De grandes boucles peuvent être réalisées avec puissance, sans quasiment perdre d’altitude. Ces une des raisons principales du succès de ce planeur.

Une des raisons de leurs capacités de restitution  est la charge alaire assez conséquente ( 80 à 110 g/dm2 ) lié à des qualité de finesse aérodynamique. Ces deux facteurs donne un planeur puissant grâce aux qualités balistiques que l’on obtient avec le vol à hautes vitesses et un certain poids.  Mais cela conditionne le fait de voler sur des pentes avec de bons rendements et plutôt grasse en herbe pour poser des machines en matériaux composites avoisinant les 1000 €.

Multiplex et le Funray viennent donc se placer intelligemment, proposant un modèle certes moins pointu qu’une machine en carbone mais qui volera à coup sûr plus souvent. Pour bien connaitre le Blizzard de Multiplex qui avait ses ailes en mousse rigidifiée : la recette marche et ça fait des machines qui allongent !

Le Funray Multiplex en conclusion :

Le Funray de Multiplex prend le coté maquette, les qualités de répartition de portance des ailes, la géométrie générale du Stingray grandeur et les expériences RC de ce planeur. Le recul technologique initié sur le Blizzard pour rigidifier l’Elapor® est là. Le bureau d’étude ne s’est pas arrêté à une simple copie mais a créé un avion avec des qualités complémentaires à l’échelle 1:1, en particulier le fuselage qui semble particulièrement étudié pour le vol tranche ( deux pincés de sel de l’Acromaster 🙂 ). Il profite également des dernières évolutions au niveau de la clef d’aile ou du démontage du plan porteur arrière. La présence de flaps en plus des ailerons permet d’envisager des phases de vols et le plaisir de la programmation. Enfin, sa raideur et sa performance se retrouvent dans les options proposées puisqu’il est conçu pour être sur-motorisé par rapport à la version de base. Une hélice carbone est en option pour tirer parti de tout cela. Le soin apporté à l’aérodynamique avec un bord d’attaque moulé ne manquera pas de donner envie de prendre les manches aux plus sceptiques sur la mousse.

Ce n’est clairement pas un avion de début mais cela en fait un très bon moto-planeur d’initiation à la voltige pour se faire la main avant l’antichambre des modèles composites. Idéal par exemple comme troisième machine après s’être dégrossi sur un modèle de début puis sur son modèle de transition. En terme de prix, d’envergure et de technologie il y a également une cohérence. Le Funray Multiplex avec ses 2 mètres d’envergure sort à 189 € en kit réf #214334 et 429 € en version RR réf #264334 ( monté, tout équipé sans radio) & : on est à mi-chemin entre un moto-planeur de transition type Easyglider 4 ( 179 € ) et les modèles composites acrobatiques très haute performance du même type : 900 € pour un kit Stingray 2.90m de chez Xmodels et respectivement 1990 € et 2260 € pour un kit Stingray 275 & Stingray 330 de chez Wing and More sans électronique, sans motorisation.

Enfin pour les pilotes avisés ayant des pentes avec de bons rendements mais parfois mal pavés c’est l’occasion d’avoir un planeur performant mais bien moins fragile que des modèles composites frôlant les 1000€. Son moteur permettra en vol de plaine de lui donner une tendance d’hotliner en prenant de forts badins après de riches montées et lorsque les conditions seront réuni cela laisse présager de forts lâchés de watts à la pente ! 

Contenu version Kit #214334 FunRay par Multiplex
Eléments du fuselage, des ailes, de l’empennage en ELAPOR®, verrière en EPP, longeron CFK ALU, toutes les petites pièces en plastique nécessaires au montage, tous les raccords de tringle, cône, plateau d’entraînement, pince de serrage, planche de décoration prédécoupées et notice de montage détaillée

Accessoires indispensables :

  • 1-00482 x1 Accu ROXXY EVO LiPo 3 – 3200M 30C avec BID-Chip ou équivalent
  • 1-00103 x1 Motorisation FunRay avec hélice à pales repliables
  • 55810 x1 Récepteur RX-7 light ou équivalent
  • 1-00113 x 1 Set Servo avec lot de cordons M6/UNI
  • 852727 x1 Colle Zacki ELAPOR 20g

Contenu version RR #264334 FunRay par Multiplex
Modèle en ELAPOR® entièrement monté, avec moteur ROXXY C35-48-990kv, variateur ROXXY BL- Control 755 S-BEC, hélice à pales repliables 11×7″, 6 servos HS-65HB Carbonite, lot de cordon M6 à branchement rapide, le tout monté, ainsi que le bord d’attaque de l’aile et du stabilisateur, décoration posée et notice détaillée

Accessoires indispensables :

  • 1-00482 x1 Accu ROXXY EVO LiPo 3 – 3200M 30C avec BID-Chip ou équivalent
  • 55810 x1 Récepteur RX-7 light ou équivalent

Documentation technique :

  • Notice : manuel pdf du Funray 
  • Pièces détachées : listing pièces détachées du Funray 

 

 

Mots clefs : planeur ; Funray Multiplex ; acrobatie ; vol de pente ; moto-planeur ; voltige planeur r/c

 

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11 comments

  1. Super vous etes des passionnés, moi aussi j’ai et il y a un certain temps très lointain Champion de France en F3A dont plusieurs podiums avec mes models persos je pratique toujours et il m’est venu une idée c’est de renouer avec la voltige planeur que j’ai pratiqué également avec un planeur Graupner capable de vrille a plat ou déclanchél vol dos etc Je suit donc intéressé par un « piège » de chez multiplex genre : Contenu version Kit #214334 Fun Ray par Multiplex avec un prix très amicale….

    • Bonjour,
      je suis en train de faire l’essais actuellement du Funray. Ce que je peux vous dire à l’heure actuelle qui irait dans votre sens : je me demandais à la base si c’était en terme de vitesse pour le vol de pente soutenu un successeur au Blizzard. Non ce n’est pas un pur hotliner qui nécessite tout le temps de la vitesse. Les déclenchés sont très francs (dos également) avec les réglages de bases et la voltige peut être bien plus poussé avec d’autres débattements ou surtout à mon sens d’autres recherches en programmation (ratios ailerons/flaps à creuser et snap). Vrille bien à plat, pas d’avis car lacunes d’entrainements sur ce sujet pour ma part. Je suis preneur d’ailleurs de conseils d’un ancien champion de France : )
      C’était quoi votre planeur Graupner de l’époque ?
      Derniers points, la motorisation tracte bien, donc bonne aide pour tirer dessus pour le vol tranche. Le planeur est hyper neutre en trajectoires. La vitesse de pointe à un moment sature en utilisation hotliner.
      Il est plutôt donc typé accro. Par contre dur de dire si vous retrouverez ce que vous aviez vécu avec votre planeur.

  2. Jean-Luc HERVE

    Bonjour,
    Ayant suivi vos cours, je me permets de vous demander une chose sur le Funray RR que je me sers. Jusqu’au jour d’aujourd’hui, je n’est pas réussi à régler les volets pour une utilisation normale, c à d 0°, 30°, 50° environ.
    En effet, pour l’instant les volets se braquent en opposition (comme les ailerons) ?
    Merci

    • Bonjour Jean-Luc, très content d’avoir de tes nouvelles ! Je vois que depuis 2017 ça à bien avancé !
      C’est bien toi qui est pas loin du Cap Fréhel c’est ça ?
      Quelques questions pour pouvoir te répondre : tu as quoi comme radio actuellement (j’avais noté DX6i à l’époque) et sur quels voies sont branchés tes volets ? Je regarderais la notice de la radio et te répondrais.
      Très content de voir que tu es passé au Funray !
      Loïc

  3. Jean-Luc HERVE

    Bonsoir Loïc,
    Effectivement je suis posé au Cap Fréhel, 2017….le temps passe ! Je suis passé à la DX7S de Spektrum. Je suis passé au Funray (entre autres) et je lui est adjoint un stabilisateur inertiel, ça aide.
    Merci de m’éclairer sur ce problème car les atterrissages se font plein pot et avec l’effet de sol vu que je pratique sur du sable, l’engin allonge pas mal.
    J-L

    • Je confirme que l’engin allonge !
      Pour que tu arrives à utiliser tes volets :
      – il faut que tu aies une voie attribué pour chacun de tes servos (ou une prise Y qui va sur la voie des volets)
      – vérifier que tu n’as pas mixé tes servos de volets dans la fonction aileron.
      – faire le choix de type d’aile qui correspond à « 2 AIL 2 VOLETS » c’est là que peut être tu as une erreur
      – les volets seront sur un interrupteur 3 positions, il faut activer cet interrupteur : cf notice « Les volets sont activés que s’ils sont sélectionnés à l’écran de type d’aile, par défaut ils sont désactivés (INH). Consultez l’écran de type d’aile pour les paramètres au choix. »
      De loin ça ressemble à : tu as mixé les volets dans les ailerons (ce qui peut être pas mal pour avoir de la pêche) mais tu n’as pas activé tes volets soit parce que tu n’es pas dans le bon mode (2 AIL 2 VOLETS) ou soit parce que l’activation du switch n’a pas été faite.
      Voilà quelques pistes. Si besoin écrit moi en MP.

  4. Pour compléter le duo LoIc Jean-Luc, je suis fort étonné du choix d’un inter pour activer l’atterrissage avec volets. Tout planeuriste un peu rôdé met la fonction volets (et la correction à piquer par mixage) sur un manche. Cela permet de doser la sortie des volets à sa guise. A noter que l’idéal pour le Funray est la fonction butterfly. Pour tous mes F5J, je mets le moteur sur un potard rotatif (dans mon cas sur le côté droit de ma Jeti DC24) : l’avantage est que l’on peut doser son moteur tant pour la montée que pour un atterro un peu court à la pente. En outre, le potard n’envoie pas la purée comme un inter tout ou rien, ce qui garde un moteur réducté en bon état.

    • Bonjour Joël, merci de cette précision, vous avez bien raison d’ouvrir le sujet. Dans le cas de Jean-Luc je sèche de faire une programmation à distance en quatre axes sur une Spektrum DX7S. Jean Luc : si tu as un potard sur la DX7S c’est déjà un bon début.
Je vous partage mes habitudes de vols : planeurs sur l’herbe ou dans la rocaille : vol en quatre axe sur manche. Sur les grandes plumes aérofrein également sur le manche en fin de course sur une des séquences de vol.
      Motoplaneurs : en herbe grasse pilotage quatre axes sur manche. Dans la rocaille : butterfly de préférence sur slider pour être très réactif, moteur au manche comme un avion. Comme vous je vole en Jeti (et également point de vente technique Jeti Sud de France coté Espagne pour les vacanciers de passage) . Dans les cailloux … je prends assez souvent ma vieille Royal SX Multiplex avec ses grands sliders que je manipule comme un manche. Les potards sur la Jeti sont également très bien placés pour être réactif.
Pour revenir au Funray : sur certaines configuration de pentes et de condition, tout sorti avec la configuration d’accus de base il est trop chargé et il est dur à arrêter … je lui casse la vitesse en complément avec des coups de dérive … 
Joël : vous volez avec quoi comme accus / masse d’accus sur votre Funray si cela n’est pas indiscret ?

      • Bonjour Loic, je tombe sur ce post avec du retard, mais je n’ai un FunRay que depuis quelques mois.
        Mes accus sont des Gens Ace 3S 2700mAh À fin de pouvoir reculer le centrage 15 mm derrière les tétons, soit à 90 mm du BA au lieu des 75mm indiqués par Multiplex.
        Le FunRay devient ainsi beaucoup plus apte voltige et de surcroît beaucoup plus à même d’enrouler les thermiques anémiques, il est incompréhensible que Multiplex persiste, pour un modèle qui n’est pas prévu pour des débutants, à donner des centrages bien trop avant ?
        Pour les crocos, ils sont bien entendu sur le manche des gaz avec un léger décalage pour le relevé des ailerons, ce qui permet d’avoir des volets avec les premiers crans de gaz.
        Moteur sur le potar latéral, mais à gauche pour moi, et comme nous pratiquons uniquement le VDP et le F3F (le FunRay n’y serait d’ailleurs pas ridicule) j’ai gardé nos habitudes de programmation : Snapflap, couplage des volets avec les ailerons et ailerons avec volets

        • Bonjour Paul,
          merci pour vos détails techniques précis et la correction de cet article. Je l’ai pas noté mais dès le second vol j’ai poussé gentiment vers l’arrière de quelques millimètres pour des trajectoires bien tranchées …
          Vous êtes dans le vrai. Je crois tout simplement que Multiplex reste quand même dans une démarche de « débutant » d’une catégorie … et pour ceci le centrage est timide.
          Et pour aller dans votre sens, même pour les débutants que je forme un avion neutre est quand même bien plus facile pour l’élève que un avion qui fait le yoyo aux accélérations et où l’élève doit en permanence finalement corriger.

  5. Je suis surpris de voir, ou je n’ai pas su le voir, qu’aucun des commentaires ne fasse état du centrage bien trop avant et qu’il convient de reculer de 15mm pour tirer partie de cette excellente machine ?

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